La Maljunulino kiu paŝis en la maro
de San AntonioCe roman est une traduction du livre La vieille qui marchait dans la mer, de San Antonio. Il nous conte l’histoire burlesque d’une vieille aventureuse qui a choisi un héritier pour lui enseigner l’art du vol et de la supercherie.
Armela LeQuint et Ĵak Le Puil, les traducteurs de ce livre, partagent avec Frédéric Dard une passion pour les jeux de mots et des néologismes. Quoi de mieux que l’espéranto pour traduire le style très particulier de l’auteur des aventures du commissaire San Antonio. Au travers de plus de 200 romans, Frédéric Dard a su acquérir un style bien à lui, reconnaissable immédiatement par son agilité avec la langue française. Et pour cette traduction, Armela LeQuint et Ĵak Le Puil ont fait preuve d’une créativité sans égal pour pouvoir être aussi fidèle que possible au texte d’origine. Il s’agit bien évidemment d’un livre pour public averti, non seulement pour les descriptions de certaines scènes osées, mais également pour la liberté prise avec la langue de Zamenhof (comme Frédéric Dard le faisait avec la langue de Molière, évidemment...)
Lady M. est une vieille femme, aussi riche qu’extravagante. Elle doit sa fortune a différentes arnaques qu’elle a commise avec Pompilius, un vieux diplomate d’origine roumaine. Quand Lady M. fait la connaissance de Lambert, un jeune plagiste en Guadeloupe, elle décide de l’embarquer dans leurs aventures pour commettre un ultime coup : dérober un diadème à un riche prince arabe.