

Un paysan qui ne parle que breton est engagé au début de la Première Guerre mondiale. Lors d'un assaut, il est blessé à la main, mais sa méconnaissance du français l'empêche d'expliquer à ses supérieurs l'origine de sa blessure. Il est accusé de s'être auto-mutilé pour ne pas monter au front et est fusillé.
Après la guerre, sa veuve cherche à réhabiliter l'honneur de son mari. Un banquet de réhabilitation est alors organisé sous le patronage d'un député, d'un préfet et d'un général. Jeannine, leur fille, considère cela comme une trahison.
Fiche technique